Le RITM accueille actuellement quatre post-doctorants :
Nessrine OMRANI, Imène TRABELSI-JABEUR, Liang GUO-FITOUSSI et Ilaria SOLITO.
Nessrine OMRANI est économiste, après avoir soutenue sa thèse à l’Université Paris Sud (septembre 2012), et en parallèle d’activités d’enseignement et de recherche à l’Université Paris 2 dans le cadre d’un contrat d’ATER, elle a été recrutée en tant que post-doctorante à l’Ecole Polytechnique de Paris (octobre 2012-décembre 2013). Elle a ensuite rejoint l’Université Paris-Sud et le RITM (janvier 2013) en tant que post-doctorante. Dans le cadre de sa thèse, ses travaux de recherche portent sur l’usage des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) et son impact sur, d’une part, les compétences numériques des travailleurs et, d’autre part, leur performance au travail. Ses travaux ont aboutit à des publications dans des revues référencées par le Conseil National des Universités français. Dans la continuité de ses travaux, elle se focalise sur les changements organisationnels en lien avec l’évolution continue des TIC et sur les nouveaux types de modèles d’affaire tout en se penchant sur les liens qui peuvent exister entre les nouveaux modes de financement et l’utilisation des données à caractère personnel. Ses travaux avec l’équipe RITM portent essentiellement sur l’utilisation des données personnelles et les modèles économiques de la vie privée.
Imène TRABELSI-JABEUR est actuellement chercheur post-doctoral à l’Université Paris-Sud, rattachée au RITM. Elle est titulaire d’un doctorat en sciences de gestion de l’Université Paris-Sud et a soutenu publiquement sa thèse en 2013, sous la direction du Professeur Ahmed Bounfour. Sa thèse de doctorat s’intitule « Etude explicative de l’innovation à partir des connaissances : Proposition d’une approche par les capacités ». Ses travaux de recherche, dans la continuité de son travail doctoral, s’inscrivent dans le champ de la stratégie et de l’organisation. Ils portent sur la place et le rôle de la capacité d’absorption et les questions d’apprentissage dans les processus d’innovation et mobilisent des méthodes de recherche qualitatives et quantitatives, avec une place de choix aux modèles économétriques des équations structurelles.
Elle a été associée récemment, en tant que post-doc, au programme de recherche : « Les actifs immatériels territoriaux, modélisation et pilotage », porté conjointement par la Chaire européenne de l’immatériel et le RITM, sous la responsabilité scientifique du Professeur Ahmed Bounfour.
Le programme de recherche ambitionne de considérer la notion d’actif immatériel territorial, en interrogeant ses fondements, sa structure, son potentiel de déploiement et son pilotage dans le champ de l’action publique ou privée, à travers trois monographies : Le pôle de compétitivité IAR, la région Alsace et le musée de l’air et de l’espace.
Ilaria SOLITO est actuellement chercheur post-doctoral à l’Université Paris-Sud, rattachée au RITM. Elle est titulaire d’un doctorat en Economics of Complexity et a soutenu publiquement sa thèse en Septembre 2014, sous la direction du Professeur Silvana Dalmazzone et Professeur Fabio Montobbio, Université de Turin. Sa thèse de doctorat s’intitule « Environmental certifications and innovation in European firms». Ses travaux de recherche s’inscrivent dans le champ de la stratégie de l’innovation et le management de l’Immatériel.
Elle a été associée récemment, en tant que post-doc, au programme de recherche : « Complémentarités entre les stratégies alternatives de protection de l’immatériel», porté conjointement par la Chaire européenne de l’immatériel et le RITM, sous la responsabilité scientifique du Professeur Ahmed Bounfour.
Liang GUO-FITOUSSI est actuellement chercheur post-doctoral à l’Université Paris-Sud, rattachée au RITM. Elle est titulaire d’un doctorat en sciences d’Économie de l’Université Paris X et a soutenu publiquement sa thèse en 2010, sous la direction du Professeur Catherine Bruneau. Sa thèse de doctorat s’intitule « Étude de facteurs macroéconomique et le risque de crédit». Ses travaux de recherche, une partie, dans la continuité de son travail doctoral, s’inscrivent dans les modèles macroéconométriques, notamment les modèles à facteurs dynamique et la gestion de risque.
Elle a été associée récemment, en tant que chargée d’étude, au programme de recherche : « Les actifs PI et Création de valeur», porté conjointement par l’INPI et le RITM, sous la responsabilité scientifique du Professeur Ahmed Bounfour.
L’objectif de programme de recherche est d’aider à l’établissement des tendances en stratégies de DPI dans les entreprises européennes en utilisant des micro-données quantitatives et d’évaluer comment les pratiques reflète la performance de l’entreprise.